Que les enfants chantent, ensemble au lointain.
Qu’ils s’ensauvagent, dansant la scène de l’océan des âges, dans la cour où périrent les grands mandarins.
Qu’ils soient la ronde, l’îlot de sénescence.
Que l’on entende, longtemps, les arbres sourire au jardin
Cédric Lebonnois